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Cajarc. Le soutien de Quercyrail® au projet Railcoop.

Jacques Faure et Didier Breil coprésidents de Quercyrail® sont ravis du démarrage du projet national de Railcoop auquel ils souhaitent embellie et réussite. Ils communiquent : “Nous traversons une pandémie mondiale. Dès les activités stoppées, en quelques jours la pollution a sensiblement diminué: voitures stoppées, avions cloués au sol, CO² en forte diminution. Alors que le rythme effréné de notre société se remet en place, plus que jamais nous avons besoin des transports en commun, moins polluants, et le rail est en bonne place. Selon l’ADEME, voyager en train pollue 32 fois moins que circuler en voiture, et 23 fois moins que voyager par les airs. Des trains de nuit sont remis en service, des lignes réactivées, relations internationales relancées, des initiatives émergent. Comme tout dernièrement le lancement du premier train de fret de Railcoop à Capdenac.

Ce projet mûrissait depuis avril 2019 par le lancement à Cajarc d’une association de préfiguration soutenue par Quercyrail®, qui sera transformée en SCIC en novembre 2019 après un intense travail de mise au point par les sept fondateurs, dont trois de Quercyrail®. Le nom “Railcoop” sera défini par ce groupe initial de fondateurs, en octobre 2019. Par ailleurs, le logo de Railcoop a été conçu en commun par le président de Quercyrail® et l’initiateur du projet Nicolas Debaisieux, à l’époque secrétaire de Quercyrail® et actuel directeur général de Railcoop.

Fidèle au département, Railcoop a installé son siège à Figeac. Enfin, le reportage télévisé de France 2 consacré à Railcoop (Envoyé spécial du 14 janvier 2021) évoquait en introduction la ligne Cahors/Capdenac comme emblématique des lignes abandonnées par la SNCF, dont le pont et tunnel de Lagarrigue à Seuzac (Larnagol). Nous rappelons que le Train Touristique Quercyrail a été lancé en 1985 sur une idée semblable à celle de Railcoop, toutes proportions gardées, à savoir éviter que le sillon Cahors/Capdenac soit déserté, puis déferré après l’arrêt des circulations de voyageurs en 1980. Ce train y a maintenu une activité durant près de 20 ans, avec des retombées économiques remarquables dans ce secteur de la Vallée du Lot.”